Juillet, octobre et maintenant janvier. La France aurait-elle décidé d’observer un délai de trois mois entre deux rapatriements en provenance des camps de prisonniers djihadistes en Syrie ? En tout cas, ce mardi 24 janvier, 15 femmes et 32 enfants ont atterri dans l’Hexagone. Il s’agit du troisième rapatriement groupé après celui du 5 juillet 2022 (16 mères et 35 mineurs) et du 20 octobre (15 femmes et 40 enfants). « C’est une grande satisfaction, mais il ne faut pas oublier qu’il reste une cinquantaine de femmes et une centaine d’enfants là-bas », précise Me Ludovic Rivière, avocat très engagé sur ce dossier.
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