Nous voici donc dans cette période flottante entre la mort du pape et le début du conclave qui désignera son successeur. Et, je dois avouer qu’au moment de me lancer dans la rédaction de cette chronique, je suis bien embêtée. C’est toute la difficulté de l’exercice : il s’appuie sur l’actualité, sur ce qui imprègne l’époque. Autant dire qu’il m’est impossible de faire comme s’il ne se passait rien au Vatican en ce moment. Et, en même temps, je n’ai aucune légitimité à disserter sur le sujet, car je ne suis pas docteure en conclave ni autrice d’une thèse sur l’histoire papale.
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