Moins de jours de congés et de télétravail, plus de flexibilité. C’est le propos de l’accord social annoncé jeudi 19 décembre par le groupe Renault, qui prévoit d’augmenter le temps de travail de ses cadres pour mieux affronter la concurrence. Dans les faits, ceux-ci s’apprêtent à perdre en moyenne trois jours de congés par an. Ils seront aussi encouragés à travailler le samedi, cette journée étant rémunérée au lieu d’offrir un jour de récupération supplémentaire.
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