« J’ai faim. » Les messages d’Amal Abu Hajar sont empreints d’une fatigue qui dépasse l’épuisement. « On rêve de viande. » Cette mère de six enfants, réfugiée sur la plage d’Al-Qarara dans le sud de Gaza, vient de subir une opération du dos et peine à se remettre. « Mon mari parcourt les marchés à la recherche de boîtes de thon, de sardines, ou de fruits en conserve, mais on ne trouve plus rien. »
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