Le silence et la détresse se sont abattus sur Pulwama, au sud du Cachemire. Le 26 avril, l’armée indienne a dynamité de nombreuses maisons de ce village, dont un habitant est accusé de collusion avec les auteurs du massacre qui a eu lieu quatre jours plus tôt. « L’armée est arrivée ici à 7 heures du matin et nous a conduits à la mosquée, raconte Abdul Rashid, 68 ans. À midi, ils nous ont laissés sortir, et nous avons découvert notre maison en ruine. »
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