Le soleil levant effleure délicatement le sommet du majestueux mont Fuji qui perce la légère brume de l’aube. Du hublot de l’Airbus A350-900, qui a décollé de Paris-Charles-de-Gaulle il y a un peu plus de treize heures, je distingue des dizaines de cargos et navires de pêche dans la baie de Tokyo. Quand soudain apparaît la piste d’atterrissage de l’aéroport de Tokyo-Haneda, plongeant dans la mer.
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