Au fil de l’interminable guerre qui endeuille à huis clos la bande de Gaza, il s’est imposé comme les yeux et les oreilles des journalistes étrangers, empêchés par l’armée israélienne de fouler le sol gazaoui et d’informer. C’est pour son indispensable récit du conflit au quotidien que le journaliste palestinien Rami Abou Jamous a été récompensé le 12 octobre par trois trophées au prix Bayeux des correspondants de guerre, un grand chelem inédit en 31 éditions.
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