Portrait

Rami Abou Jamous, journaliste palestinien porte-voix de l’enfer de Gaza

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Rami Abou Jamous et son fils Walid, à Deir El-Balah (bande de Gaza), en octobre 2023.
Rami Abou Jamous et son fils Walid, à Deir El-Balah (bande de Gaza), en octobre 2023. Rami Abou Jamous
Le journaliste palestinien Rami Abou Jamous a reçu trois distinctions lors de la 31e édition du prix Bayeux des correspondants de guerre pour son récit quotidien du conflit à Gaza. Un signal fort alors que près de 130 journalistes ont été tués en un an dans l’enclave, où les reporters étrangers ne peuvent entrer.

Au fil de l’interminable guerre qui endeuille à huis clos la bande de Gaza, il s’est imposé comme les yeux et les oreilles des journalistes étrangers, empêchés par l’armée israélienne de fouler le sol gazaoui et d’informer. C’est pour son indispensable récit du conflit au quotidien que le journaliste palestinien Rami Abou Jamous a été récompensé le 12 octobre par trois trophées au prix Bayeux des correspondants de guerre, un grand chelem inédit en 31 éditions.

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