Analyse

Corée du Sud : dernier jour pour arrêter l’ex-président Yoon

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Des partisans du président sud-coréen Yoon Suk-yeol participent à un rassemblement pour s’opposer à sa destitution près de la résidence présidentielle à Séoul, le dimanche 5 janvier 2025.
Des partisans du président sud-coréen Yoon Suk-yeol participent à un rassemblement pour s’opposer à sa destitution près de la résidence présidentielle à Séoul, le dimanche 5 janvier 2025. Ahn Young-joon / AP
L’ex-président Yoon Suk-yeol vit retranché dans sa résidence à Séoul, protégé par sa garde personnelle, depuis sa tentative ratée de déclarer la loi martiale. En dépit d’un mandat d’arrêt qui doit être exécuté au plus tard ce lundi 6 janvier 2025, à minuit, il refuse de se rendre à la justice.

Les enquêteurs ont jusqu’à ce lundi 6 janvier au soir pour exécuter le mandat d’arrêt émis contre l’ex-président Yoon Suk-yeol, démis de ses fonctions le mois dernier après une tentative de coup de force. Appelé à répondre aux questions soulevées par sa brève imposition de la loi martiale, le chef de l’État déchu vit retranché chez lui, à Séoul, protégé par des milliers de partisans et par une garde personnelle qui bloque l’accès à sa résidence.

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