Un vendredi avant les vacances de Pâques. Les sourires se lisent facilement sur les visages des élèves de la classe de CM1 de l’école Rosa Parks à Hautepierre, quartier « prioritaire » de Strasbourg. Mais on devine une autre source de joie, plus inattendue : les petits déjeuners. « C’est trop bien », glissent, timides mais ravies, deux élèves restées papoter dans les couloirs.
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