La Croix : De quoi les annonces de fermetures d’usines Volkswagen sont-elles le symptôme en Allemagne ?
Eileen Keller : Il est clair que cette annonce très forte tire la sonnette d’alarme sur la situation de l’entreprise. Mais nous n’allons pas être confrontés à une vague alarmante de fermetures dans l’automobile allemande, tout au plus à une réduction de la production. Elle reste le premier secteur industriel en Allemagne, avec 5 % du PIB et 7 % de la main-d’œuvre. Les ventes de l’année dernière ont atteint des records.
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