L’avis adopté jeudi 28 septembre par l’assemblée plénière de la Commission nationale consultative des droits de l’homme (CNCDH) peut-il relancer le processus législatif lancé en 2022, et aujourd’hui au point mort, en faveur d’une constitutionnalisation de l’interruption volontaire de grossesse ?
Cet article est réservé aux abonnés
Vous souhaitez lire la suite ? Abonnez-vous sans engagement à notre offre numérique
Je m'abonne
Déjà abonné ? Je me connecte