Cela fait un mois que Mosaab Naser est revenu à Gaza-Ville avec sa famille. Rien n’est resté debout, dans l’ancien quartier fleurissant d’Al-Rimal où il vivait avant-guerre. « Nous n’avons eu d’autre choix que de commencer avec une tente dressée dans la rue, au milieu des montagnes de béton, de métal tordu et de souvenirs brisés. » Le cessez-le-feu en vigueur depuis le 19 janvier permettait une telle installation. « Beaucoup nous ont traités de fous, d’aller vivre au milieu des décombres, dans l’incertitude », rappelle le jeune homme.
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